Nio arrive en France et ça va changer votre vie, découvrez comment ! 5 raisons pour lesquelles Nio va tout balayer sur son passage en France !
Les acteurs chinois sur le marché européen
Sommaire
- 1 Les acteurs chinois sur le marché européen
- 2 Le mystère Nio : Des indices pour une arrivée imminente ?
- 3 Stratégies de prix : La guerre contre les géants européens
- 4 Nio s’implante discrètement en France pour commercialiser des voitures électriques à moins de 30,000 euros
- 5 Un nouveau constructeur originaire de Chine envahit l’Europe
- 6 Une nouvelle marque pour concurrencer les grands acteurs européens
- 7 L’ombre des éco-bonus sur la réussite de ce nouveau projet
Vous l’avez constaté, l’influence chinoise en Europe, et plus particulièrement en France, est en plein boom. MG, Xpeng, BYD… Les noms fleurissent, et il n’est plus seulement question de gadgets électroniques. La Chine s’est sérieusement mise à l’automobile, et le Vieux Continent est visiblement sur sa liste de courses.
Le mystère Nio : Des indices pour une arrivée imminente ?
Alors que tout le monde était occupé à regarder Tesla ou à s’extasier sur les dernières Audi électriques, Nio a commencé à poser ses valises en France, discrètement. Très discrètement. Des changements de postes, des embauches ciblées, une équipe française en formation… Tout cela sent la grande annonce, mes amis !
Stratégies de prix : La guerre contre les géants européens
Nio, connu pour ses voitures électriques de luxe, semble vouloir jouer sur un autre tableau en France. Un tableau moins cher, bien plus abordable. Un véhicule électrique pour moins de 30,000 euros ? Qui dit mieux ? Certainement pas Volkswagen ou Renault !
Nio s’implante discrètement en France pour commercialiser des voitures électriques à moins de 30,000 euros
Le géant chinois Nio pourrait bientôt implanter sa marque en France avec une nouvelle stratégie. On vous en dit plus sur cette avancée.
Un nouveau constructeur originaire de Chine envahit l’Europe
Les automobiles chinoises continuent de se faire une place en Europe, où la Chine est désormais le plus grand exportateur devant le Japon et l’Allemagne. Cela fait grincer les dents de l’Union européenne, qui met en place des mesures pour freiner cette invasion. De nombreuses marques asiatiques tentent leur chance, comme MG, qui rencontre un franc succès, mais aussi Xpeng et BYD, proposant déjà plusieurs modèles en Europe dont la France.
Présence discrète de Nio en France : que mijote-t-elle ?
Aucune date n’a été annoncée par le constructeur pour le moment, mais il se trame clairement quelque chose. Sur sa page, Nicolas Vincelot, employé chez Nio depuis plus de deux ans maintenant, annonce qu’il occupera désormais le poste de directeur général de la marque en France. Une véritable équipe française a également été constituée, incluant Thomas Chrétien chargé de la communication et du marketing dans notre pays. Le mystère reste entier, même si le fabricant n’a rien officialisé jusqu’à présent.
Une nouvelle marque pour concurrencer les grands acteurs européens
Il semblerait que Nio ne vienne pas sur le territoire français dans sa forme actuelle. En effet, le constructeur avait prévu l’année dernière de créer deux nouvelles entités chargées de commercialiser des voitures moins chères, car Nio s’est positionné en gamme très haut de gamme. Aucun modèle n’a encore été dévoilé mais un internaute semble avoir repéré un prototype camouflé sur les réseaux sociaux.
Une voiture électrique pour moins de 30 000 euros : un pari ambitieux ?
La première voiture envisagée sous cette nouvelle marque aurait un prix inférieur à 30 000 euros, ciblant directement Volkswagen et son ID.2 ainsi que la Renault R5 électrique. Pour l’heure, on en sait peu sur ce véhicule si ce n’est qu’il devrait hériter des technologies Nio, y compris potentiellement l’échange de batteries.
- Des rumeurs indiquent également que la voiture pourrait être équipée d’une batterie à électrolyte solide fournie par WeLion, lui permettant de parcourir jusqu’à 1 000 kilomètres selon le cycle CTLC chinois.
- Cela placerait cette nouvelle marque au milieu d’une gamme de prix comprise entre 30 000 et 50 000 euros, afin de toucher un public plus large et diversifié.
Tout cela reste néanmoins à prendre avec des pincettes, car aucune annonce officielle ni date de commercialisation n’ont été données pour le moment.
L’ombre des éco-bonus sur la réussite de ce nouveau projet
En dépit d’une stratégie ambitieuse, cette jeune marque devra faire face à un inconvénient potentiel : l’absence d’éco-bonuses due à un récent décret gouvernemental. Cette disposition pourrait freiner l’enthousiasme autour du futur modèle électrique abordable de Nio et contraindre l’entreprise à proposer une offre encore plus compétitive face à ses concurrents européens déjà bien installés.
Une réponse chinoise attendue face aux mesures européennes
Tout porte à croire que tout soit mis en œuvre pour permettre à Nio et sa nouvelle marque d’avoir toutes les cartes en main pour réussir leur implantation en France et dans le reste de l’Europe où la concurrence demeure rude. Il ne fait aucun doute qu’une réponse adaptée sera apportée aux décisions prises par l’Union européenne pour protéger son marché.
Conclusion : entre mystère et attentes
On retiendra donc principalement de cette actualité que Nio est présent, de façon discrète, sur notre territoire et prépare probablement quelque chose derrière l’écran de fumée laissé par cette nouvelle marque.
- Un constructeur de renom avec de nouvelles technologies disruptives,
- Une gamme de prix relativement concurrentielle,
- Une volonté affichée de s’imposer dans l’Hexagone,
Il ne reste plus qu’à attendre une annonce officielle et des informations supplémentaires pour en savoir davantage sur les ambitions réelles de ce géant chinois sur notre sol.